21 février 2009
IIDNVHF
Et si on arrêtait de parler desalaires? Dans les cas les plus durs, il n'y a aucune commune mesure entre le travail fourni et l'aumône consentie par les sous-merdes patronales. Il faudrait multiplier les sommes par 10 ou 20 pour approcher quelque compensation... Aussi soyons clairs et appelons les "salaires " IIDNVHF, soit Indemnité Insuffisante de Non-vie à Horaire Fixe.
Vive la sociale! Vive l'asocial! Que ça aille à l'os!
Vive la sauce à l'ail!
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