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orlando de rudder
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23 novembre 2008

Un roman n'est jamais son sujet!

A novel is never what it is about“. Ainsi parlait Graham Grenne, cxe que nous rappelle Pierre Assouline sur son blog. Hé oui, un roman ne peut se réduire à son sujet. Ce sujet peut être banal et le roman sublime tandis que l'inverse est possible. Toutefois, il est bon de constater que dans la vie, c'est pareil au kif-kif de la même chose  à l'identique. Surttu quand il s'agit d'engagement politique, du moins chez les mous du genou à l'esprit suiviste qui veulent simplement pratiquer une affirmation de soi pour masquer un vide effroyable ou une connerie vindicative. C'est fréquemment le cas. de ceux qui refusent le politique,  proclamment la fin des idéologie et se confisent dans la bien-pensance quelle qu'elle soit.

LEs pires s'incrustent dans les associations d'attendrissement, dans l'amour béat, crétin et faux. La plupart des associations d'amis des animaux, par exemple. Voici des gens qui se veulent plei n d'amour et bavent trop souvent la haine, comme la Bardot dont l'autobiographie montre l'impossibilité de s'accorder avec les humains, l'égoïsme affectif primaire et le mépris constant.Cette bourgeoise jusqu'à l'os, devenu rombière après avoir été sublime s'apitoie sur les bêtes maois fréquente des gens du Front National qui excusent la torture, soutiennent les régimes atroces. Oui, les amis des an imaux et plus largement la mouvance nature-écolo-bio en  est toujjors là: le mépris de l'homme, bien innocent à côté des bêtes dans la nature et la célébration des animaux.L'idée force est la "valeur intrinsèque" de la nature et la proclamation qu'un produit dit "naturel" est meilleur qu'un autre... Bref,  un anti hupanisme horrible qui place ces gens du côté des totalitarismes et des massacres! Tout dictateur aime les animaux et fait de la bête un "argument de vente" pour son idéologie. On voit aussi les opposants à ,la fourrure, avec leur fascination pour des photos horribles,  parfois truquées et leurs accusations: la rombière à vison, la bourgeoise con serait un assassin épouvantable tandis que, jamais, ces gens ne stigmatiseraient un dictateur pratiquant la torture! LEs amis des animaux se foutent des exactions touchant les humains comme les fans d'Ingrid Betancourt se désinbtéressent des prisonniers reclus dans els geôles américaines clandestines ou à Guantanamo: ils on fait leur choix... Et se disent parfois "APOLITIQUES".

Ecologie, paraphilies alimentaires, nunucherie animalière (je suis pour l'expérimentation animale! C'est un devoir  car je suis vivant! Eh oui, la m"édecine a permis cela.La vraie,  celle qui progresse, pas les pseudo-médecines stagnantes sans évolution et réactionnaires de la sphère écolo-bio!) v iennent toutes du principe totalitaire, d  la célébration de la nature.Et s'opposent à la culture, la longue lutte sublime, glorieuse et quotidienne de l'humain accab lé par la dictature de cettte nature, obligé d'inventer, de travailler pour la rendre supportable, pour ne pas mourir ou demeurer inféodé comme les bêtes dans des systèmes de servitude, de prédation, de haine et de trouille! Obligé, même, d'inventer la poésie pour s'en sortir et la névrose religieuse pour mépriser les autres...  Et dénigrer la vraie beauté ,celle de l'art, de l"humanité...Aussi est-il constant que les mouvement pro-nature viennent des idéologies racistes et totamitaires: Il a fallu Haeckel pour mettre au point les bases de l'écologie et pour que, nécessairement, cette idée de la nature soit celle des Nazis, tandis que la mouvance zamidézanimo s'entiche du Front National entre autres mouvements de haine: Plus ça cause d'amour, plus ça hait! Comme les vrais de vrais cathos, ceux qui massacraient! Il est vrai que, dans un sens différent de celui de Spinoza, la nature remplace Dieu chez les mystiques refoulés qui n'osent pas pratiquer une religion parce que ce n'est plus à la mode et se disent de gauche parce que ça fait b ien!

Maintenant,  écoutez, vérifiez...LAissez parler! Et vous verrez que, pour peu qu'on les laisse libres de s'exprimer, tous ces amis des bêtes, tous ces écolos en arrivent nécessairement à des propos totalitaires...

La soc iété de consommation nous permet aussi de penser. SEs opposants s'opposent aux autres, aux "beaufs"... Et c'est la même chose! L'idée de nature, la défense des animaux ne sont que des prétextes passionnés (une passion est toujours fausse) pour l'affirmation de soi et le mépris des autres.C'est social, venimeux, dégueulasse comme un racaille de banlieue révulsé par un type en costume-cravate, cr c'est là, la vraie discrimination!

Je rappelle que Sarkozy n'a jamais dit "racaille"! Ce mot vient d'une feme de banlieue terrorisée par les bandes sexistes, racistes, minoritaires et trafiquants de drogue (on peut enquêter mieux, de plus!) qui organisent savamment les émeutes "spontanées" avec la bénédiction de divers services secrets du proche orient...Ca n'a rien à voir,  mais il faut le dire: "Racaille" est le cri juste d'une opprimée...

Ecoutez les zamidézanimo parler des chasseurs, des gens qui portent de la fourrure... Jamais ils ne diraient ça de  Pinochet;  de Bush!  Dan Mitrione adorait les bêtes! IL y a dans l'iéologie en question, dans  l'idée éc olo-bio une parenté,  une consubstancialité ou presque avec les idéologies dures et le mépris du genre humain!  De plus il s'agit de sous-pensées petites-bourgeoises et consommatrices,  le bio étant le paroxysme de la société de consommation et la célébration d'une b ourgeoisie nostalgique du pain noir et d'un ordre "naturel" de l'alimentation...

Soyons indulgents avec ces pouacres, mais faisons gaffe: Ils finissent souvent par avoir des fusils et tuer!

Fourrure... L'Inuit ou l'Indien des grandes plaines ainsi que la bourgeoise fofolle et pognoneuse seraient des assassins ignobles ar la fourrure a toujours été à la fois une nécessité contre le froid et un ornement...

Nous avons le devoir d'être heureux! Ca commence par évoluer, vaincre la nature, sa nature, lieu de toutes les oppressions! Et de la haine abjecte qui se masaue en amour...

Une opinion, surtout non-raisonnée, "viscérale" n'est jamais ce qu'elle s'autoproclamme et l'ami des animaux n'est qu'un complaisan ennemi de soi-même qui se raconte de belles histoires sur son âme qu'il voudrait généreuse! Ah! L'invention de soi! Comme il est doux de se créer une  histoire,une biographie complaisante! Et de se voir agir en conséquence!

Soyons fiers et mangeons trop!

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