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orlando de rudder
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6 novembre 2008

L'arrogance du hérisson...

Je continue de lire l' Elégance du hérisson..Lentement,  entre d'autres lectures parce que c'est lourd.  Cependant,la soufrance des deux connasses égoïstes et méprisantes est amusante!Tant de justifications,  tant de discours pour masquer un  manque d'amour,  un e détestation sordide des autres, une envie sociale gluante! Il est souvent distrayant, instructif , roboratif de voir des moindres souffrir et , dans la vie, souhaiton longue vie aux salauds qui souffrent! Puissent-ils morfler par les siècle des siècles! Heureusement que la jeune andouille ne se suicide pas!

Le personnage du "messie " japonais est un cliché fabuleux! Presque raciste! Une sorte d'Ombre Jaune mais dans le positif  complaisant! Et l'on voit qu'on a beau mépriser le bourgeois, quand on est bourgeoise, on en  trouve un plus exotique puisqu'on  pratique la haine de ses racines, la haine de soi et un mépris répugnant pour les autres... Et qu'on peut projeter sur une autre civilisation ses propres manques en les attribuant à ses origines, en se trahissant et en ne comprenant absolument rien à cette civilisation reconstruite pour se rassurer! Ah! On est loin  des mouvements agités, artistiques coruscants, plus ou moin s anar de l'avant-garde japonaise! ar le Japon n'et pas peuplé d'un tas de cré tins mystiques prônant le zen criminel et dégueulasse!Il y a du mouvement et ça pète! loin de la sérénité zen,  égoïste et qui a tant tué! Saloperie!

Muriel Barbery , l'auteure, travakle en virtuose le pastiche qui n'en  est pas un, le déplacement du cliché, la rhétorique ironique en nous présentant deux eprsonnages négatifs au point de toucher l'abjection par une affectivité de bouche d'égout, ,un menmetalité de cendrier plein et de parvenir à faire qu'on pourrait s'y attacher... dans le roman! Car dans la vie, ces gens bornés détruisent  harcèlent, amochent le quotidien
Je vais relire, à ce propos,  Mémoires d'un païen,  de Jacques Perry...De l'air pur, de la ferveur...du vrai.Ca désintoxique!

Et ça parle d'art...

Tout art est viande!

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Commentaires
M
J'attends, j'attends, que de lenteur en lenteur, vous ayez tourné la dernière page.
E
Ce qui m'a gêné dans à lecture de ce livre c'est la condescendance de la concierge et de la gamine : Hé "regardez nous comme nous sommes intelligentes , et pas vous ..."<br /> En plus ça va devenir un film !
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