Republication encore!
Oh! que c'est pas bien, Gros Ruru, d'écrire des sonnets aussi vulgaires! Vraiment, tu devrais avoir honte! en plus, t'as vu comment tu traites les femmes ("cette" femme, nuance!)? T'es rien qu'un dégueulasse! Un macho pourri!
ET pwi cé un sonnet pas régularistique, paske le deuxième katrain y tralalate otrement rimatoirement que le premier!!
Et puis y a des gros mots! Plein! C'est vachement vulgaire, berck! Pouah! Bouh! le vilain kilépabô! T'as pas honte?
- Si, j'ai honte... et c'est délicieux!
Voici donc:
Merdrigal rural
Ô rivière pensive à la tronche d’élégie !
Printemps !ô arabesques, libellules acrobates !
Ô moulin aboli qu’il faudrait qu’on abatte
Campagne qui m’emmerde et que, moi, je conchie…
L’amour dès aujourd’hui me file la bucolique
Je t’ai baisée, chérie, jusqu’aux démangeaisons
Il n’y a pas que toi qui me donnes des boutons :
Cette belle contrée se remplit de moustiques
Las de rougir d’amour en me grattant la couenne
Las de pisser-douleur en brayant comme un âne
Las des urtications, de la chtouille et du reste
Las des viscosités des pétasses agrestes
Je renonce aux rurales, à leurs culs, belles aubaines
Pour m’en aller grimper des pouffiasses urbaines !