Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
orlando de rudder
orlando de rudder
Publicité
Archives
17 janvier 2008

Mères isolées, "ventres" et soumission sociale qui en redemande

LEs assitantes sociales les appellent des "ventres". Ce sont,les pauvres filles qui, très jeunes, pour quitter leurs parents et avoir un logement, se font faire une, deux, trois enfants... C'et une sorte de "choix de vie", si l'onpeut parler de choix. Une carrière.Assumée. LA norme, dans certaines parties du territoire est à la "mère isolée".LE père? On l'exclut.PAr chance il boit souvent. L'horreur de ce viol: un enfant "dans le dos" qui détruit l'enfant et le père, avec tandis que la mère est par définition détruite).L'amputation du mère peut aussi venir de sa juste fuite. Alors on le harcèle pour qu'il paye tout en détruisant sonimage auprès des enfants. Mais ça commence à résister.Lisez ce qui suit! J'espère que cela va révolter "viscéralement" les bien-pensants: Etats-Unis: des hommes demandent un droit à ne pas être père AFP 09.03.2006 - 8:43 Le "Centre national de l'homme" a annoncé son intention d'engager une procédure judiciaire aux Etats-Unis pour faire reconnaître le droit constitutionnel d'un homme à refuser d'être père, dans la mesure où l'avortement garantit ce droit aux femmes. Fondé en 1987 pour promouvoir l'idée que "les hommes devraient bénéficier des mêmes choix, libertés et privilèges" que les femmes, le centre s'est emparé du cas d'un technicien informatique de 25 ans, Matt Dubay, qui refuse de payer une pension alimentaire pour une enfant qu'il n'a jamais désirée. Le centre doit déposer jeudi des conclusions devant une cour fédérale du Michigan pour faire reconnaître le droit de Matt Dubay à refuser la fatalité d'une grossesse qu'il n'a pas désirée. "Un homme doit avoir ce que les femmes ont déjà, c'est-à-dire le droit à l'intimité sexuelle sans la peur d'une procréation forcée. Pour que l'homme et la femme soient des partenaires égaux, aucun des deux ne doit avoir le pouvoir de contrôler l'autre", a expliqué le directeur du centre, Mel Feit. "L'homme et la femme ont tous les deux accès à des méthodes de contraception. Mais si elles échouent, seule la femme a encore un recours", a-t-il ajouté, en précisant que l'annonce de cette procédure un 8 mars, journée internationale des femmes, n'était qu'une coïncidence. "A l'heure de la liberté de reproduction pour les femmes, la paternité doit être plus qu'une affaire d'ADN: un homme doit choisir d'être père de la même manière qu'une femme choisit d'être mère", insiste le communiqué. Le centre a choisi de baptiser sa procédure "Roe vs. Wade for men" (Roe contre Wade pour les hommes), du nom de la décision de la Cour suprême américaine qui a autorisé l'avortement aux Etats-Unis en 1973. Etonnant, non? Fini le provilège! fini la complaisance! Ttou ça pour dire qu'il est comme décidé au départ que le père doit s'en aller... Et que c'est, de toute façon tout bénef secondaires! Bien sûr, entretemps il y a scène de ménage, aute aliénation des femmes, puisqu'on leur concède une minorité,un infantilisme qui supposent qu'elles ne sont pas capables de maîtriseer leurs nerfs.Le harcèlement de la scène de ménage (voir mon livre à ce sujet) est une autre condamnation des femmes,une sorte d'assignation à la folir,à l'irresponsabilité... LA scène engendre els coups dont ils sont le miroir.Sauf que les mots font mal, très mal et laissent des traces, tandis que, parfois,les coups se cicatrisent. Ces pauvres" ventres" passsent ainsi leur vie avec le statut confortable de "mère isolée", de victimes. Et tputlemonde est content.Sauf rtuote eprsonne féministe, ou dui moins égalitire qui ne l'est pas pourla frime, mais profondément! Ces pauvres filles sont responsables du malheur de leurs mômes et COUPABLES .. Oui, ce mot tabou... Rappelons que c'et là que se joue la maltraitance d'enfant comme l'infanticide, crimes de femme, essentiellement (allez donc voir une prison de femmes!). En Argentine,on avance: il y a des modes de garde à condition qu'on se secoue. ET l'on a organisé un programme pour que les femmes seules par soumission au rôle social et complicité avec le système: des études. Eh oui,la culture seule peut restaurer l'amour. Ele est "volonté de savoir".Et les mentamités changent peu à peu avec la grammaire, la langue vivante, les curs de je ne sais quoi..On quitte la mentalité du "recevoir sans donner", cette définition de la méchanceté. Du victimat. Ce qui est pareil.Une victime qui ne serait pas méchante pratiquerai l'imposture. LE vrai féminisme,le profond,l'humaniste, celui qu'aucune "garce de hyène" ne peut comprendre (les "Chiennes de garde", dontle nom abjecte montre la condamnation dès le départ sont aussi féministe que Bové aime la nature: bidon."Ni pute ni soumises"? PAs même des putes, que je respecte et dont le combat fait peur aux inféodées, come celui des homos... Tout ça pue la droite!)... Car on veut évacuer el social, dans le monde des bourgeoises. Et Badinter, vraie féministe, montre et déclare qu'il y a plus de différence entre une bourgeoise aisée et une femme de ménage qu'entre la même bourgeoise aisée et son mari! SE penser come ressemblante à la pauvre est aussi grotesque que d'imaginer un grand aptron dire qu'il est identique au clochard du coin! Hypocrisie, complaisance. D'Argentine aussi vient MArcela Iacub... ah! Le vrai féministe, dentu, costaud, ça fait mal aux habituées du Fouquet's (non, bien sûr! Ca ne se peutpas vraiment! C'et juste pour être vache! hi! hi!).Et que dit-elle, entre autres? Ca: Le pire ennemi des femmes, c'est l'enfant, c'est la famille, affirme Marcela Iacub. La maternité précarise. Les femmes sacrifient leur destin personnel à la reproduction de la société." Si elles se contentent d'exiger des compensations, comme la parité en politique ou des avantages particuliers dans les entreprises, elles acceptent de facto le rôle qu'on leur attribue et entérinent l'ordre social inégalitaire. Voilà pourtant le féminisme à la française, "féminisme maternaliste", "féminisme de la victime". Marcela Iacub rêve d'un militantisme plus extrême, plus subversif, qui débarrasserait ses concitoyennes de l'estampille "Génitrice". Or,le social praique un double sexisme effroyable, coupable : D'une part les assistantes sociales pensent que els pères sont forcément ignobles et encourageent l'amputation du père que payent les enfants. Et c'est encore plus vrai si le père en question a l'audace d'être Maghrébin, Noir ou pas blanc! Voire "intello"! Car les services sociaux sont en fait d'extrême-droite traditionnaliste larvée. D'autre part,il est EVIDENT pour ces services réactionnaires qu'une femme et faite pour être mère. Bref, assignée à son rôle,l a"mère isolée" est condamnée au malheur, comme ses enfants. Or les pères demandent souvent la garde des enfants... Au lieu d'encourager ce mouvement (un père réussit presque tujours mieux dans l'éducation,le saviez-vous? ), v''lan! On en rajoute une couche pour mieux engluer els femmes dans le rôle social de victimes et dans un malheur épouvantable. Courage,un jour, il y aura plus de femmes réellement féministes, se demandant à elles-même autant de perfection que les machimollasses fémiistoïdes en demandent aux hommes. Et lâchez les mômes, bon sang! LEs pères se débrouilletn mieux dès la petite enfance passée! Amusez-vous, faiters carrière (ou non) et refusez d'être victime.ainsi,peut-être qu'un jour les femmes en vindront à aimer VRAIMENT (librement) leurs enfants,leurss conjoints, sans y être obligées! Autrement, qu'elels souffrent: c'est bien fait.Et souffrez qu'on se marre, nous autres, femems et hommes libres dans l'esprit, en les toisant avec le frémissement distingué de l'esthète dédaigneux, ce qui horripile, donne envie de tuer chez les médiocres et &utres groins!
Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité