Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
orlando de rudder
orlando de rudder
Publicité
Archives
10 janvier 2008

Préférez-vous le chat ou le torero

L'intense plaisir,la jouissance du chat torturant une souris sont fort élaborés. LE chat n'est pas auxxi brute que bien d'autres nombreux animaux qui tuent et torturent pour le plaisir, comme le rhinocéros qui emplae sa femelle. Mais nous sommes là dans une délectation plus brève et plus sociale: le chat se la joue aristocrate. Sa cruauté s'accompagne d'une conscience plus aiguë, semble t-il. CA ronronne aussi dans l'esprit: il y a du calcul, de l'intelligence bestiale.Ele est presque semblable à celle de l'humain sadique, du nazi décidé. Ce qui est peu surprenant: le retard affectif, la non-humanisation du bourreau humain le ravale au rang de la bête: devenir homme (et l'homme est devenir) c'et justement ne pas ête aussi cruel, méchant, haineux qu'un chat... ou qu'un sadique! On dit généralement de ceraines bêtes "il ne leur manque qu la parole"... C'et faux: que pouraient-il dire sinon des banalités? Il leur manque l'art et la poésie! Ce qui manque généralement aussi aux humains attardés. MAis le chat, lui, a plus de ressources.certes sonintelligence méphitique ne le pousse pas à inventer des machines come les bourreaux: il n'en est pas là et demeure bête.Mais on voit que la qualité de son plaisir s'approche de la délectation baveuse d'une Ilse Koch, d'un Dan Mitrione (qui, de plus, raisonnait et philosophaint sur la torture) d'une Clara Knecht ou d'un KLaus Barbie, voire d'un Bigeard... Certaines bêtes cruelles s'approchent ainsi des gens les plus moches. C'est par l'intensité de l'émotion. Cette cruauté jouissive est certes plus décorative que la placide soumission des bêtes raplapla et moutonnières aux quelles on a envie de foute des baffes et des coups de pied au cul, et non, évidemment de les tourmenter et torturer quand on est un vrai humain, c'et à dire l'opposé d'un chat, d'une bête, d'un tortionnaire... Mais tout de même, c'est assez difficilement acceptable.D'autant plus,insistons-y, quele chat montre une sorte de conscience qui ne l'empêche pas de suivre soninstinct cruel. Un hopme qui suivrait son instinct cruel serait comme un animal.Même,il mêlerait diverses spécificité des bêtes immondes: sadisme, pédophilie, inceste, esclavagisme, colonialisme...Un frontière possible entre l'humain dégueulasse, régressif et la bête serait la conscisnce de la cruauté jointe à la finesse, l'intensisté de la jouissance ressentie.en tout cas l'intelligence aniumale ne peut s'élever qu'à la hauteur de l'imbécile, de l'idiot ou du pervers humain. IL est d'ailleurs étrange que beaucoup d'amis des chats soient des opposants à la corrida ou à la chasse! Ils devraient les approuver en tute bone logique.Quoique un chat soit évidemment mille fois plus répugnant, mille fois plus ignoble qu'un torero ou qu'un chasseur! Mais c'et vachemetn beau, un chat. Et l'on se sent si bien quand on gâtifie pour montrer qu'on est bopn, puisqu'on aime les animaux! Cette jouissance, ce bien-être des amis des animaux, sur d'être des "gens bien" par l'exhibitionde leurs performances affectives n'et pas élooignées de la jouissance du chat torturant la sourir... IL y manque cependant l'épice noire, la pointe perverse qui sépare l'ignominie de la cruauté de la bassesse bien-pensante!Evidemment! L'ennui c'et que le torero parle espagnol et ne se sert pas d'une litière.On n e saurait le nourrir avec des croquettes... Tout compte fait, il vaut mieux avoir un chat. On le trouvera sublime et l'on justifiera sa mesquinerie, sa pignouferie d'écornifleur par sa grâce et par sa beauté. Moi, je préfères putes!
Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité