Le roman commencé.
Alors, Faustine a vu la confirmation des vies dans un roman commencé — au sublime tous sont tenus ! - Presque toujours, l’existence compose avec les plus tolérant. L’ensemble permet la civilisation.
Il faut dire qu’il y avait assez de gens pour commencer le roman. On l’inachèvera dans l’élégance. Je pense notamment au Curé. Au fil du récit, il s’éloigne de la digression. Il s’y montre peu à peu, Tel qu’il est. Ceci, en tenant ses registres, comme un misérable coyote au service d’une maturité rancie. Il faut le tuer. C’est fait.
Fervente du théâtre trop pâle, Faustine ne dédaigne pas, pour autant, le vulgaire, ni le grotesque. C’est ainsi qu’on peut voir la confirmation des vies. L’absence de dédain constitue une méthode. Qui ne manque pas de sel. Ni de poivre. Ni de piment. Ni d’audace.
Aussi, nous pouvons en déduire que, dans le village, rien ne saurait découler d'une simple multiplication des idées et des lieux. Il y a, dans l’air, des oiseaux bien trop simples. Il y avait beaucoup de gens dans le début du roman. Mais on en a trop tués !
Dans ce hameau, se débattent les derniers des personnages. Avec, notamment, les grandes nécessités, réduites à une seule : Entre tous, on n’est pas un. Les débats, par endroits évoquent les prémices morales de la misère matérielle.
Ainsi devine t-on davantage la nécessité d’une confirmation. Faustine l’a vu dans ce roman commencé. J'accepte donc qu’elle détecte l'influence d’une pensée nombreuse.
Il n’y a plus personne dans le roman vital. On ne peut pas continuer. Le sublime desséché pue le nombre en moindre. Faustine tourne les pages, aussi blanches qu’une oie. Si elle pleurait, je m’approcherais d’elle…