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orlando de rudder
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23 août 2007

En attendant l’image.

Mais je m’en fous, moi :  Mes voisins pouvaient attendre l’image. Les  laisser  faire me suffisait. J’en sais assez  pour maîtriser la question !  En peu de temps !

Alors, je vais à la rivière. Je m’assieds et je me demande pourquoi…

Attendre l’image en a broyé plus d’un. Mes voisins, par chance, sont assez solides. J’assiste à leur vie. Il parlent fort avec des locutions-maison. Mais tout le monde peut comprendre.

Ce n’est pas l’attente qui me gêne, mais l’image elle-même ! C’est vrai, quoi, à la fin des fins !

Non, moi, je n’attendrai plus l’image. C’et aussi vain, à mon sens que d’attendre le Quelqu'un; Celui qui ne serait pas comme qui serait vous-même. Un  à côté, Un être dans le Oui pur. C’est à dire :  la sclérose.  Alors, moi… Pfutt !

Quand je dis que l’image me gêne, j’exagère un petit peu.. Je m’en fous. Ou presque.

Pour mes voisins, c’est différent. Ils sont solides. Et l’ eau, ne se soucie pas autres liquides,. De ce fait, ils ne se soucient pas de moi, de toi, des autres, même s’ils nous aiment bien.  différentielle essuie terre avant .

Le vent ride la rivière qui essuie la terre, au bord de son lit. Finalement, l’image viendra plus tôt que prévu.

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