Les intellos et les citations

La manque de rigueur, de respect des autres, si à la mode chez tous les réacs, fait que, sur le net comme ailleurs, on nous présente des tas de citations sans référence complète.

Passons sur les trucs attribués à Einstein ou à d'autres des écolos, des végétariens, des scientologues, de Totoseb, spécialistes des fausse citations: nous sommes dans des économies mentales totalitaires à pensée par slogans où "tout est bon pour convaincre" et où "la fin justifi eles moyens", opinion qui défiit le fascisme ordinaire.Ces gens, lorrsqu'il arrive que elur citations si  vraie, ne les référencient pas. Bien sur,il y a le cas extrême et méprisant de la connerie planplan:

La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre

Attribuée  à "Un Chef Indien": là, nous touchons l'abjection, le mépris...

Non je veux parler ses citations comme on les voit sur, par exemple,EVENE: la phrase, le nom de l'auteur.C'est tout.

LE respect de l'autre, l'honnêeté,la politesse demandent qu'on mentionne au moins l'ouvrage dans lequel se trouve la phrase citée. Si on ne le sait pas, on le dit, ce qui précise qu'on ne l'a pas lu. Tant pis: c'est une richesse en moins!

Evidemment, chez les intellos, les universitaires avec leur rigueur, leur honnêteté exemplaire,leur honneur même,on demande en plus le numéro de page, de folio, voire le paragraphe où se trouve la citation. En général c'et ceux de l'édition princeps. Autrement la règle demande, s'il s'agit d'une réédition  que ce soient ceux de l'édition qu'on a en main en la référenciant... Que voulez-vous, en ces temps d'anti-intellectualisme, si semblable au racisme et l'accompagnant généralement, personne n'est à la hauteur des intellos tant critiqués.Ceci expliquant cela!

Pour le pouacre,le Totoseb, une citation  sert à asséner une opinion.C'est une arme, une auctoritas.¨Pour l'intello, amoureux de la vie, héritier des goliards, franc buveur et promeneur, c'est l'incitation à en savoir plus. En plus d'un éclairage pour un raisonnement,une découvetre lumineuise ou une démonstration. La citation sert d'échantillon au gourmand, comme le verre de vin offert par le vigneron: on goûte, on se décide. Et on lit l'ouvrage si ça nous plaît ou si c'est intérsesant pour d'autres raisons. Car on n'est pas un "ça fait chier"  éprouvé durement par la névrose de l'ennui, asociale, nuisible aux autres et coupable. Comme n l'a vu chez un "Chef Français" incapable d'apprécier une chef d'oeuvre de notre littérature: ce chef est un home qui s'ennuie.Rien de bon ne iendra de lui. Et c'et bien ça, l'anti-intello: quelqu'un d'infnile que "ça fait chier", qui "n'aime pas ça", comme un môme dont le goût n'est pas encore adulte, qui s'imagine qu'il y a des savoirs -des amours, donc- inutiles! L'ennui est une névrose grave: ele ne vient pas de son objet,mais de l'être lui-même! Quelqu'un qui s'ennuie finira toujours par nuire aux autres: à fuir! Ces gens que tout "fait chier", surtout quand c'est de l'art ou dre la "culture" finissent généralement par trahir, faire des crasses, médire, mépriser: le méprie est en eux.Ils sont trop souvent dangereux et ne peuvent connaître ni amour, ni amitié! On n'a que des ememrdements avec

En France,pays d'intellectuels de goliards, de gens complets qui aiment la vie, donc la culture,on devrait faire plus attention. Et respecter l'autre. L'intello l'artiste, eux, dans leur complétude de gens svants qui aiment la vie,offretn au monde et ne peuvent pas se permettre, sauf oubli et en s'en expliquant,une citation non-référenciée. Car le savoir, la connaissance, le désir d'aller vers l'autre ajute l'AMOUR à la politesse et au respect.

Les maîtres qui m'ont formés furent ainsi: baladeurs, randonneurs, pratiquant évidemment des exercices physiques fondateurs, amateurs de bonne chère et de mots d'esprit, gourmands et humanistes,ils présentaient de vrais egos, des personnalités fortes et goulues de la tendresse folle, cele de la volonté de savoir, de l'émerveillement... de la gourmandise!

Il est bon de le rappeler en ce temps où les chafouins à la Sarko, les tristes sires qui font la gueule,les faux joviaux qui mordent en douce,les chafouins entartufés prônent l'anti-intellectualisme à tout va , le déclin culturel du pays et sa soumission à l'idéologie des évangéliques US ignares à la Bush. MAis ils ne brûlent pas encore les livres et les oeuvres...Ca viendra peut-être... Il ne restera plus alors que les diatribes condamnant l'art "dégénéré"  et des citations tronquées ou fausses...

En écrivant ces lignes je pense au sourire de Bachelard, de Jean Rostand, de Colette voire à celui de Noëlle Châtelet, réservée, brillantissime et dont l'intelligence st un régal gourmande,  rencontrée une  deux fois et toujours lumineuse... A la pertinence enjouée, poétique de Gacq, à la tendresse amusée de Tardieu,qui n'empêche pas un humour somptueusement vachard et sans méchanceé, Ou encore à Elisabeth Badinter, un phare qui déplaît tant à ceux et celes qui, visiblement, ne sont pas au niveau!

Intellectuels, artistes, gens du réel, de la nature, qui marchent en forêt, cultivent les cerisiers ou les tulipes, sont parfois vignerons amateurs,pratiquent la randonnée, le cyslotourisme, la voile, le tir à l'arc, plutôt que les sports à la mode et médiatisée.  le boomerang, travaillent mènent une vie complète... Ils m'ont appris tout ça, et la lecture en plus: la plus humaine des activités de l'homme! IL restent en eux unpeu de "l'honnête homme " classique en bien plus efficace, complet, généreux... Qui a généralement lu les ouvrages qu'il cite! CA prend si peu de temps, lire, quand on sait! En plus,ça apaise ça rend meilleur, ça jubile!

La culture est une politesse, oui: on n'inflige pas l'ignorance aux autres, c'est LA nuisance! LAplupart des autres nuisances des crimes, des salperies viennent de personnes ignorantes... Pourtant,il y a l'école... Mais le conformisme fait qu'on la méprise! Qui? Ceux qui ne s'adaptent pas au monde! Qui ne l'aiment pas.

Et tout l'anti-intellecrualisme vient de là. Celui qui aime, qui surit,pour un moindre habitué à une vie qui fait la gueule, est ressenti comme "arrogant", "prétentieux" come le sotn généralement vraiment les sportifs...

Et pourtant, c'est délicieux,la ferveur, l'enthousiasme, l'appétit! Et ça commence par une citation vraie, régérenciée, raisonnée...

Il y a des exceptions, bien sûr, quand la citation est trop connue, on fait allusion ou on exprime une application rhétorique. Ce qui permet une complicité. Le genre:

Sutor, non supra crepidam

ou enore:

Homo imperito nunquam quidquam injustus

Que tout le monde connaît et qui font partie de la sagesse de ceux qui sont au-dessus des Nations (au fait, ce mot est de la même racine que "nature" et "naître").

Au passage,un autre signe de la pouacritude méprisante anti-humaniste; l'expression "la soi-disante élite"!  Terrible aveu! L'élite ne se dit pas,elle est.Mastoc,,incontournable. Insupportable pour les bas de plafond. CEs gens qui se permettent des opinions généralement moches et de contester ceux qui savent... En ilmaginant en savoir autant!

Pourtant, ces pouacres n'iraient jamais prétendre courir plus vite que le champion du monde ni faire du meilleur pain qu'un bon boulanger! MAis, quand il s'agit de culture, d'intelligence,la haine surgit etla prétention du subnullard se répand, immonde, dangereuse, fascisante... Ainsi voit-on les mystico-cuculs contester Descartes,le Dalaï-Lama critiquer le monde occidntal et Nicolas Sarkozy oser l'ouvrir devant Michel Onfray (on en pense ce qu'on veut, mais, désolé, Sarko HUMAINEMENT, ne fait pas le poids.Hé oui,ça existe, l'élite: il est obscène de voir un petit arriviste exalté dire des conneries à quelqu'un qui le dépasse de beaucoup)...

Tiens, au fait:Onfray? C'et aussi le nom de La Mettrie. IL faut lire et relire l'Art de Jouir... Et aussi, avant de s'indsurger, comprendre les enjeux de l'Homme MAchine!

Il y a des gens dont même les erreurs sont fécondes, construcives ou fondatrices!

Mort aux vaches et au champ d'honneur!

Bon, ben c'est pas tout ça, comme disait l'autre, mais il fait beau!

(comme on le voit, je ite ma référence!Ji'a bien mentionné: "l'autre".Car moi, je ne dirais jamais qu'il fait beau, à cause du réhauffement de la planète que tous les experts (encore une référence précise!) y disent que comme quoi c'est vrai à cause des pauvres, dans leurs sales pays  pauvres, qui polluent, berck!!)

Bon sang de bonsoir et même:

Parbleu!

Voltaire, LA Princesse de Babylone,  folio, 2000,Paris. rééd.p.70