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orlando de rudder
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28 mai 2007

Jalousie féroce.

Quand j’ai bien savouré le goût des visions ordinaires, je n’aime pas sentir la jalousie obscène du tout venant ! Son ,nom est Dieu. Et c’est ce qu’il y a le plus moche : En toutes les saisons, il guide le remugle odieux. C’est bien étrange, sauf que ça tue. Lui seul tue. Pour guider mes pas j’ai acheté une boussole parfumée. C’est l’occasion rêvée d’ accomplir la foison des actions familières ! Entendez-vous les voix qui portent le vent fougueux ? La Jalousie obscène soulève d’effroyables souffles ! On possède alors des trahisons à perte de vue. Qui collent. Toisons Dieu : il est moins ! La nature en est la preuve ! Quand Dieu pue, je ris. C’est donc fréquent. Mais j’aime bien le couchant, quand le ciel est bleu-noir et que le soleil rouge donne l’impression que la Terre va se calciner. La jalousie obscène ne peut venir que de Dieu ! IL n’a rien d’humain. Ce n’est qu’un tréfonds glacé. Moi, je suis l’image. Pas jalouse, forcément : j’existe en vrai ! Je transpose. Et pourtant j’eusse aimé ressentir un vraie jalousie veule ! Mais c’est impossible, car je suis ce que je suis. Dans le jardin du soir, on trouve d’autres jalousies, plus simplement féroces et moins décoratives… Dieu est un pied : il marche. Seul. Ayons pitié de son malheur ! Même s’il l’a mérité comme tout un chacun, en n’étant que lui-même, rien de plus, rien de moins ! Berck !
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Commentaires
A
Olympe, il y avaient d'autres jalousies : celles de Dieux à l'égard des hommes, parce qu'ils étaient...mortels. Autre Temps, autres jalousies!<br /> Amitiés et bises.
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