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orlando de rudder
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4 mai 2007

Pour l'abolition des campagnes électorale

JE rêve d'une interdiction des campagnes électorales.Marre de la société du spectacle. Marre de ces affrontements dignes du foot! Marre de ces personnalistions.

PAs de campagne: juste des textes. Simples et techniques (compréhensible par ceux qui ont le niveau minimal pour être citoyen qui snt capables de comprendre un texte de loi,par exemple). Austères. Maquette minimale. Sans concession stylistiques: si le langage technique est nécessaire, qu'il soit là, sans volonté de "vulgarisation".C'est au citoyen de se prendre en mains, de se gouverner. De sedonner els moyens intellectuels de ses responsbilités. Ca passe par une culture minimale. Voulue par soi-même. Et si un citoyen  n'est pas capable de comprendre un texte d'économie, par exemple, il doit renoncer à sa vie citoyenne. Il ne peut que nuire à l'ensemble de la nation. Il votera sur l'émotion. Comme ces gens qui, parlant d'un candidat disent " il (elle) me dégoûte, c'est physique", parlant comme un vulgaire raciste parle d'un représentant d'un groupe honni.

On l'a vu lors du traité de Maastricht! Des gen avouant quil n'y comprenaient rien! Alors que ce texte était simple et ne demandait que le niveau minimal nécessaire à tout un chacun pour diriger sa vie autant que faire se peut dans une démocratie formelle, trop formelle. LE suffrage universel équivaut au devoir de savoir.La merveilleuse 'école laïque mène  à l'obligation de connaître. Le suffrage universel engage. IL est nécessaire même si l'on doit subir l'odieuse agression antidémocratiqued de l'ignorance (demandez à un travailleur comment fonctionne la bourse! Peu sauront répondre! Ils sont foutus, c'est tout: ils ignorent le réel, le mastoc, l'inévitable. se battent contre des apparences, des moulins à vent en ignorant le vrai sens du quotidien de leur propre oppression.Et le capital gagne, opprime, écrase, triomphe! Et les mômes de tels travailleurs continueront, vicimes de l'ignorance et de la mollesse morale ,intellectuelle DONC affective: foutus) L'ignorance est coupable! Elle est la joie des extrêmes-droites!) et se battre pour lui alors que tant de gens sont  incapables volontairement (ou par paresse, ce qui est volonté négative) de saisir le sens du vote, de comprendre les enjeux politiques.

On ne devrait pas voir aussi souvent la tête des hommes et femmes  politiques.La campagne devrait ête juste informative: chaque candidat aurait à fournir un programme, dûment signé. De même longueur pour tous. Il comprendrait autant de dossiers que de sujets politiques (économie, école, droits de l'homme, etc...). LE tout étant simple sans fioriture dans la présentation comme ce que les ignares jugent emmerdant (quelqu'un qui n'et pas capable de se concentre sur un texte précis, ou qui s'ennuie, c'est déjà... grave! Qui aime la vie ne s'ennuie jamais. L'ennui est un trouble psychologique de type dépressif aussi nuisible que l'ignorance pour l'entourage de celui qui ose se permettre d'imposer sa merde mentale à ses proches).LA démocratie est d'abord une affaire personnelle, intime. C'est l'être qui est en jeu. L'avachissement anti-intellectualiste est l'ennemi absolu de la liberté.

Pas de campagne, donc: des textes, des engagements à valeur de contrat. Avec de terribles peines si l'un ou l'autre de ces engagements n'est pas honoré. Juste  des papiers et, pour l'audiovisuel,lecture à haute voix d'un ton neutre, avec une image mimimale sur l'écran de télé. Rien qui plaise trop facilement ou puisse séduire. Rien qui soit laid non plus. L'intérêt, la nécessité doivent venir de la substance elle-même,pas de la garniture, des fioritures...De la tromperie!

Il s'agit d'une prophylaxie, d'une stérlisation contre les micobes des émotions dirigées, construites, les "indignations vertueuses", le "dégoût viscéral" et les "performances affectives", gluances émotionnelles à la MAcias où l'on s'auto persuade de ce dont on est déjà persuadé. Le peuple deveneant foule.. en attendant de se trnsformer en meute.

PAs de campagne, dnc. Et pas de chanteurs! MAis des intellos! I(L y en a plus à gauche, hé oui, forcément, dès qu'onpense ptrofond et vrai, réel et non attitude): des savants, des philosophes, des sociologues... Avec l'obligation de s'exprimer par écrit, avec la même longueur d'articles pour tous, une maquette minimale, agréable,mais sans plus...

MArre des débats (qu'il était con, celui là! Ségolène aurait dû étrangler l'ignoble à propos du handicap! ).C'est encore du spectacle, come le foot. Si l'onveut des débats, on les réalise, on en exrait el texte, on l'imprime. MAis on ne laisse pas les candidats aparaître au public: ils sont alors marionnettes et nous assistona à l'affrontement de leurs conseillers en communication (ah! le stylo de Sarko! celui qui signe l'horreur! Et-il de la même marque que ceui de Papon? ).Tout est truqué come de la fiction débile. On imprime, donc.

Ou alors,on fait réelement jouer le débat par des acteurs qui devront rester comédiens: se mettre au service du texte, sans en rajouter, le plus sobrement possible. L'intérêt doit venir du fond lui-même et non des mises en sène médiatiques. Et le citoyen doit puvoir s'intéresser, voire se passoinner sans les colifichets des sentimentalités e des émotivivtés:ils doit retrouver le sentiment et l'émotion profonde.. .Ca doit d'abord se passer en lui, en vrai, et non en suivant des promotions dignes des chanteurs à la mode, en vibrant sur commande dans une fusion avec la foule des fans, dns une dépersonnalisation digne de la beatlemania.. ou des discours d'Hitler et autre matches de foot: il n'y a que de l'illusion,là... ! ET la manipulation joue à plein! C'est quasiment mystique, c'est-à-dire moisi.Cs émotions collectives de foot ou de chsons peuvent facilement dégénérer en haine et marcher sur des victimes: plus on se sent sincère, plus on se ment et plus on peut devenir assassin désindividué, indistinct dans le collectif fangeux (oui,ça fait un peu Tibulle: de la nécessité des lettres anciennes! ) ... Nous sommes dans la propagande! Ce qui est le fond du débat télévisé, de campagnes électorales...

Ou alors pourquoi pas un débat politique Bénabar-Doc Gynéco, Johnny Halliday-Higelin  Ou... Sapho-Enrico Macias? (voilà qui fait bien comprendre la différence entre la droite et la gauche! CA va loin) .

Ainsi, sans campgne à l'esbroufe, le citoyen pourrait redevenir lui-même, chercher en lui les raisons de son choix, retrouve la profondeur du politique que tout ce cirque herche à effacer. Cette profondeur peut sembler austère.

Mais, Barbey d'Aurevilly l'a dit: "les gens heureux son graves" tandis que la rigolade est l'ennemie du rire,profond et sacré, lui.Ou,marre de l'émotivité vive l'émotion, vraie, profonde, discrète, sans manifestations imposée, du vécu de l'intérieur! ET non du spectacle. Marre de la sentimentalité: on n'élit pas comme une adolescente nunuche choisit son chanteur préféré: du sentiment.Du vrai. Du fort... Un retour au vrai romantisme ou presque:pensée costaud, quitte à devenir brutale! Energie farouche et forte en gueule... Emotion solide, sentiment réel. C'est à dire une pensée  personnelle. Avec l'austérité tendre des vraies choses. Ce qui ne peut se faire qu'avec la rectitude des propositions de chaque candidat. Et le risque terrible s'ils ne sont pas fidèles à leur parole.

On est bien obligé de subir l'ignorance. Le suffrage universel est sacré. Même si la culpabilité de celui qui vote en n'étant pas capable de comprendre un texte technique du genre du traité se MAstricht est patente. Même s'il est indigne. Le devoir de savoir et de comprendre fait partie du devoir d'être heureux (de tenter de l'être) et de choisir, autant que possible sa vie, son acivité professionnelle, seuls moyens de ne pas nuire... Même si ça fait mal.

Bref, il s'agit d'amour...

La seule vraie fonction humaine est le devenir. Ce evenir est l'apprentissage de l'amour. L'éloignement progressif de l'animal, du bestial pour accéder à l'humain toujours enprogrès.

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Commentaires
P
Oui, c'était un peu ça, un combat de chargés de com' par gladiateurs interposés.(c'est ce que suggerait le générique.) Et des slogans. Et "j'ai mieux appris ma leçon, nananère". <br /> Bon, pour l'instant, les faits parlent plus que leurs discours, de toute manière.
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