10 janvier 2007
Viande !
Je vis ! Ceci, palsambleu, en dépit de ce que m’offre en vain tel cadeau corporel de silence amical. Yeux rougis ! Ô voici l’étendue de cette réalité : mon espérance ! Pas de bonheur souscrit, bien sûr, en rente presque viagère. Mais des blessures sanguinolentes ! Qui deviendront somptueuse pitance. Par la braise rougeoyante, par mijotages ou flamboyances !Ou encore tout à cru comme mon cœur arraché ! Viande !
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