6 janvier 2007
Encéphale chamois.
Esprit charnus, occiputs, cervelets, que j’aperçois vêtus de pensées à perte de vue devant moi : sédiments, résurrections et plis de foisonnements. Que faire de tout ça, avec mes lunettes noires ? Le soleil est ardent : qui veut luire le peut ! Ô la chair coulemelle d’un encéphale chamois ! Oui, c’est un vrai bonheur de penser avec ça !
Hélas le pauvre type que je ne connais pas pense maigre tous les jours et même le vendredi !
Dépits ! Il y aura le silence en étrennes funéraires ! Si j’avais un euro, j’achèterais du gras, histoire de voir à voir et afin d’être là !
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