Pour ceux qui savent savourer lentement l'oeuvre et non pas seulement la voir et la consommer du regard...Pour ceux qui "lisent", dévorent, "incorporent", il y a, entre autres,Callot. Tout y dépasse tout. ET cela nous désintoxique de la pléthore d'images sns parfum, goît ni âme qui nous agressent autant que la musiquette gnangnan obligatoire. Un jour, on dit non, on s'arrête, on écoute vaiment, on voirt vraiment, on rgarde vaiment, on mage vraiment, on fait vraiment attention aux autres... On ne "marche" plus et l'on découvre un supplément de soi. Ce que devrait être l'écologie, cette ennemie de l'art: une compréhension sns environnment, mais avec la voloté d'être là, irrémédiablement présent, en se disant, sans se le dire: "je suis l'art, je suis la nature, car je vis en son sein: il n'y a pas d'environnement! Da sein! Ce serait un moyen POLITIQUE d'éviter la folie de l' "Homme nouveau" décérébré, écoeuré (on lui enlève le coeur!) aux "geste" de clone... Il n'y a que l'art...
Penser l'art, se penser, boire un verre en le vivant, ce verre, incorporer la douceur des choses, leur force.
L'art peut nous faire aller plus loin, faire que le rêve soit plus long ( et plus: "non"!) que la nuit, que la vie, plus vrai, plus simple! MAis il ne faut pas céder aux modes..
Et nuos en arriverons peut être à évacuer, en nous les vieilles horreurs et la guerre, que Jacques Callot montre...
Voici donc l'annonce de merveilles à connaître, à reconnaître pour tant de naissances neuves! LE grand Callot (il y a aussi, au musée, je crois, Altdorfer, le génie absolu et Israël Sylvestre!):
Exposition d’estampes originales de JACQUES CALLOT du 9 décembre au 27 janvier à Nancy |