Ignominie tranquille!

J'ai rencontré PAtrick Dils à Montmorillon, en 2004. Il venait signer son livre à note "salon du livreé "off" en marge de celui d'une mairie d'extrême droite et qui sabotait la cité de l'écrit pour cause de foot et d'intégrisme catho, agrémentés d'une haine farouche contre Régine Deforges, native du cru et considérée come le Diable. ET qui avait créé cette "Cité de l'écrit", sauvant Montmotrillon de la désertification culturelle et footballomaniaque (et j'en ai eu, des ennuis, là-bas! ) . Une ville sans foot est presque sûre de s'en sortir!

PAtrick Dils est un homme timide. Peu liant. Sans doute apparaît-il antipathique à beaucoup. IL faut longtemps pour qu'il sourie. C'est pour cela qu'il a été condamné. Rien n'était probant pour démontrer sa culpabilité. Et le jugement a été fait sur son apparence, sa maladresse de parole. Et cela peut arriver à n'importe qui qui ne plaît pas... Qui n'a pas le "look" qu'il faut. Ou qui est timide, voire renfermé...

Donc, si vous voulez commettre un crime, devenez un joyeux boute-en-train...On condmnera le type le plus renfermé qui passera par là! La justice est ignoble! Et ce qu'a subi Dils est effroyable...

C'est tous les jours, à tous les niveaux! Enfin, il est fort probable que ce soit, encoire, Francis Heaulme.Sans doute apparaît-il moins froid que Dils: on l'a laissé courir. Il a tué. Et tué. Dils était en prison...

Une circulaire inique de Ségolène Royal a permis que sur simple dénonciation, on arrête des gens dotn on avait dit qu'ils sont pédophiles.Il y a eu des drames, des suicides, quasiment des lynchages... Et tout s'est écroulé! LA grande majorité de ces dénonciations venaient de voisins jaloux, d'ennemis... LA justice sociale, anti-hommes, anti-pères s'en est donnée à coeur-joie. En attendant, Dils et de nombreux hommes ont souffeit l'injustice, l'incarcération abusive, l'opprobre. Des familles ont été brisées. Des enfants meurtris par la réputation ternie de leurs pères.Il faudra reparler des pères: C'est LE problème! Leur éviction systématique est la clé des crises comme celle de la banlieue.L'organisation des séparations faite par les assistantes sociales (plus particulièrement envers les pères immigrés, soupçonné d'être forcément islamistes, btutaux, polygames) est criminelle. LA fabrication complaisante de "mères isolées" est constante.

Alors qu'il y a heureusement peu de crimes sexuels, on s'en sert pour vilipender les hommes dansuen société qui est bâtie sur la résultante d'une exploitation du désir masculin, un reste de prédominance masculine battue en brèche par la volonté d'astreindre les femmes au rôle de mères, de victimes et en leur inflmigeant la solitude. Uniquement par sexisme. Or,les pères sont une grande partie de la solution à bien des problèmes de violence. LEs hommes sont condamnés d'avance. Surtout s'ils sont "taiseux" ou peu amènes. Comme Dils, ou comme un père désespéré de ce qu'on a osé lui mettre sur le dos. Tout ça parce qu'on se faxcine pur les rares crimes sexuels et qu'on veut oublier bien d'autre violences familiales (dont les conjugales qui n'en sont qu'une partie). Cet aveuglement doit cesser. Il faut faire el ménage dans les services sociaux et appliquer des punitions: on ne bousille pas les gens ainsi, on ne nuit pas aux enfants de la sorte. Beaucoup parmi les  juges pour enfants, les Juges des Affaires fAmiliales, les assistantes sociales et psychologues à la Outreau,ou comme ceux qui ont exeminé Dils sont ennemis des pères, des hommes, certes, mais surtout les responsables, les coupables de l'amputation du père et, par là, les ennemis des enfants! Le système social nuit aux mômes. ET, lorsque des enquêtes seront faites, on tombera des nues! Comme à Outreau. Comme pour Dils! Les erreurs de jugement sont légions: on se croirait au Texas.

Et l'on s'appitoie sur Eva MArtinet!