J'ai reçu ça.
Mouais... Si effectivement, la Palestine est La victime des raisons d'Etat actuelles, si jamais on a autant méprisé un peuple, je ne vois pas trop le sens de cette association... Enfin, ce texte reçu, le voici:
Bonjour,
Je vous invite à lire et je serai honoré de recevoir vos adhésions au :
« MANIFESTE 2006. ART, POÉSIE et VIE » :
« Changer la Vie »
Voici le lien (regardez les signatures, dont les premières sont du grand poète Thiago de Mello, et de l'ambassadeur de Palestine ) :
http://www.cristinacastello.com/Frances/frances/manifiesto.html
Le « Manifeste » est un texte que j'ai enfanté à quatre mains avec l’écrivain Ricardo Dessau. « Changer la vie » Pour signer le Manifeste envoyez un message à : manifeste@cristinacastello.com en complétant les données suivantes : Prénom et nom de famille : Activité : Ville : Pays : Site Web (optionnel) : Cristina Castello Poète et Journaliste http://www.cristinacastello.com 75001 - Paris
À lui le cri, à moi le chuchotement, aussi vigoureux qu’un cri.
C’est un cri pour la liberté et la révolution du mot.
C’est un appel à la conscience profonde.
Il invite à dévoiler et à jeter bas les masques.
Alors que de plus en plus dans le monde
le glas d’une foule d’esclaves fait entendre ses plaintes,
le « Manifeste » dit « Assez ! » aux troupeaux.
Il dit « Assez ! » à tant de –poètes ?- courtisans du Pouvoir.
Dans ce cri et dans ce chuchotement puissant battent les cœurs de maints poètes.
Al Hallaj, crucifié à Bagdad il y a cinq cents ans.
Federico García Lorca, Desnos, Celan, Miguel Hernández, Paul Éluard,
Juan de Yepes –aujourd’hui Juan de la Cruz-, Nazim Hikmet, Ovidio, César
Vallejo, et tant d’autres. Massacrés, emprisonnés ou exilés.
Et le cœur d’Arthur Rimbaud bat toujours et fait battre le mien avec son défi
plus que jamais actuel :
* L’idée n’est pas du tout la création d’une organisation, mais l’accomplissement du devoir du mot.
Si votre pensée accompagne le sens du « Manifeste », à la fin de la lecture vous trouverez la façon de vous exprimer. Il n’est pas nécessaire que tu sois un poète ou un artiste. Ce qu’il faut, c’est que tu aimes la vie et que tu sentes, avec Rimbaud, encore lui:
« Parce que Moi, c’est l’Autre ».