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orlando de rudder
orlando de rudder
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31 juillet 2006

les zamidézanimo me gonflent toujours...

Quand il y a quelque expérience, de 'l'amour aussi, du temps et quelque gourmandise de la vie, on pense comme avec une certaine faim.Et ça ne peut pas plaire à tous: Elle n’aimait guère les bêtes. Ou plutôt, respectait trop le genre humain pour comprendre que l’on s’attachât à un animal. La fidélité générale des chiens et la beauté des félins de salon, cette facilité de l’adoption mutuelle de deux races lointaines la dégoûtaient de ceux qu’on nomme « les maîtres » :misanthropes sans pouvoir, carencés d’amour, intolérants envers leur solitude comme envers leurs congénères.Virginie Durand, Emma Rovski, 2000. La béatitude envers els bêtes admirées tant et plus nous mène tout droit vers un antihumanisme désatreux. Le mépris contemporain pour l'être humain constitue ue trahison grave et, sournoisement, détruit toute harmonie des rapports entres humais et entres hommes et bêtes... qui n'aime pas els gens n'aime pas les animaux: il compense... Qui n'aime pas les animaux, s'il ne leur fait pas de mal, est certainemnt plus capable d'amour: il ne se débine pas, il ne se trahit pas.... Un jour, après tout ce totalitarisme bestial, nous redeviendrons humain et nous aimerons mieux les animaux. Pour l'instant, c'est le principe, la mode, l'émotion obligatoire, la "performance affective" et l'invention de soi défaillante par manque d'estime de soi, donc des autres... Il est nécessaire que ceux qui n'aiment pas les animaux le disent! Aujourd'hui, c'est à peine s'ils en ont le droit! Aucun dicateur n'aimait pas les bêtes... C'est une constante! Quant à moi, jen'aime que mes amis. Animaux ou non. J'ai, dans ma mémoire, des chats et des chiens d'enfance, un furet, un canard... MAis je les ai aimés en tant qu'individus... Comme les gens. La folie animalière est dangereuse et nuit à certaons personnellement, dans leur âme même... C'est bien plus grave qu'on VEUT le croire.
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