L'enfer bio

Lu sur "nous les femmes"!!!!! "Avec, dans un sac en papier recyclé, de la bière au chanvre indien (rassurez-vous… il s'agit de cannabis désactivé !), des germes de quinoa et quelques bons flacons de jus de raisin fermenté, on se dit que la nature a quand même de bons côtés et que tout cela fleure bon le terroir bio ! Ce sont en effet les courses de Marjo (comprenez Marjolaine, isn't it !) qui vient tout juste de replier ses jupes jusqu'à l'année prochaine… Avec un franc succès à l'appui car, pour son trentième anniversaire, le salon Marjolaine a reçu plus de soixante-quinze mille visiteurs et a réuni plus de cinq cent cinquante exposants dont près de la moitié viennent des secteurs de l'alimentation et des vins bio" L'enfer! LA bière au chanvre ne vaut rien, et surtout pas une Chimay, une Orval, fruit de la nature non-bio mais naturellement modifiée par l'humain! Elle en vaut même pas les bonnes et honnêtes bières de table!!!!C'est du chichi bourgeois.JE sui allergique au bio, à sa bien pensance et à cette connerie. La bière au chanvre n'a aucin intérêt.Pendant ce temps, de jeunes brasseurs tentent de se faire connaître avec des bières goûtues et naturelles, en se foutant du bio! LE quinoa, c'est pas mal, mais ça demande de solides préparations, des poulets musclés comme dans les Andes, des poivrons qui se marrent tellement ils sont rouges ou qui ricanent vertement, sans rire jaune. Autrement, c'est pas bon, le quinoa, et c'est trop riche. Comme les pains "de campagne" inventés récemment qui acidifient l'estomac et ne valent pas une baguette bien faite s'il s'agit d' acocmpagner un plat. LE quinoa mérite qu'un chef s'y intéresse... Pour l'instant, on s'en fout un peu. Le vin?LEs grands crus sont bio et de toute façon, le vin n'est pas "naturel", c'est une invention humaine contre nature, comme tout acte tel que semer ou de planter... Ah! Quittrer le bio et retrouver l'art, la gastronomie, qui ne s'enivre ni ne s'indigère et qui est diététique en réaction par rapport à l'environnement, en pure sagesse bien opposée au bourgeois d'autrefois qui s'empifraient et qui avaient raison de se venger de siècles et de sièles de disettes, de misère, de famine, et aux bourgeois bio de la santé à tout prix (pour quoi faire? Vivre longtemps? NE vaut-i pas mieux faire un beau truc, brûler sa vie, aimer?) et de toutes ces obsessions malsaines? Manger est un art comme la cuisine et le bio revient à une censure, comme l'interdiction des livres un peu coquins autrefois et des oeuvres d'art "dégénérées" au nom de l'idée de nature... le bio, c'est la censure par trouille de l'humain, comme si la nourriture moderne était vraiment dangereuse!!!! Ca arrive, mais moisn qu'autrefois, quand les intoxications et le botulisme tuaient les gens comme des mouches! Sans compter les épidémies venant des aliments!!! ET que seule la médecine moderne a su éradiquer... Avec des médicamebnts ayant forcément des effets secondaires, car il n'est pas possible de modifier uen fonction du corps sans inluer sur les autres... Eh oui, un médicament sans effets secondaires serait idéal, mal très peu naturel!!! Il faudrait qu'il modifie profondément le terrain... ce qui revient à un effet plus principal que secondaire! Il nous faut une nourriture saine et non saturée du sens artificiel de l'idéologie bio: la nourriture a du sens, un sens profond, historique, culturel que le bio combat dans la même mouvance que les atteintes aux cultures désastreuses de notre temps. C'est l'un des aspects du libéralisme, luttant contre son contraire, la malbouffe comme deux marques de lessives sont en concurrence apparente alors qu'elles sont toutes deux produites pas le même trust! Kellog's contre McDo! C'est la même idéologie! Avec la mpême histoire: on revient aux origines du bio avec Steiner, Blavatski, les mouvement pré-nazi qui, sous l'infleunce américaine, sont devenus libéraux après la guerre! L'histoire du bio est intéressante!!!LA vraie vie edst ailleurs! (imagine t-on Rimbaud buvant une bière bio? Toures els bières, ou presque, le sont, par ailleurs!). Ailleurs, ici, il y a les autres, ceux du Côtes du Rhône au comptoir, des rillettes aux cornichons, des ballades en forêt, des livres non expurgés et des statues sans feuilles de vignes (garanties sans OGM). Redevenons nous-mêmes et luttons traquillement contre le bio, cette censure, pour une nature vraie parmi les résonnances du vrai rire du grand Pan!