Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
orlando de rudder
orlando de rudder
Publicité
Archives
18 février 2006

L'affaire Cohen

LEs procédures d'Assistance Educative en Milieu Ouvert (AEMO) nuisent énormément. Cependant, aucun juge pour enfants n'est mis en examen, aucune AGSS de l'UDAF... Ce sont autant de Mini-Outreau.Voici un récit édifiant qu'on trouve sur 2parents.net et qui relate une affaire soigneusement étouffée!!!! En France, pârce qu'on en parle pas mal ailleurs.Je rappelle que le système d4AEMO est attaqué par la Cour Européenne des Droits de l'Homme... Il doit disparaîytre et des sanctions doivent êttre prises conte ceux qui prononcent une telle mesure comme ceux qui l'exécutent! Voici le récit. Sans commentaires. Les faits sont attestés. Affaire Cohen : l’histoire de Johanna et Loris L’histoire de Johanna et Loris : raptés, sequestrés, et maltraités avec la complicité de la justice francaise. L’illustration de la violation par la France des conventions internationales relatives aux droits de l’enfant. L’illustration de la corruption et du copinage qui règne dans la justice familiale francaise. par Moren Hacc, le 8 novembre 2003 I. LES FAITS : RAPT, SEQUESTRATION, ET MAlTRAITANCE DE DEUX ENFANTS1. Le 13 avril 2000, Loris (6 ans) et Johanna (10 ans) COHEN sont raptés par leur mère, Nicole AMORETTI et son frère Christian AMORETTI. La famille vit à Manille aux Philippines ou le père, Marc COHEN, est économiste / fonctionnaire international au siège d’une organisation internationale.2. Nicole AMORETTI, selon ses écrits, n’a aucune intention ’d’avoir deux gamins sur les bras’, elle préfère ’le snoufiland, la bonne skunk, et gober des ecstas sans qu’on vienne la faire chier’. Pour justifier le rapt, la mère et ses avocats invoquent des ’différences culturelles et religieuses’ avec le père, base sur laquelle la mère veut obtenir la suppression de ses droits parentaux. Les magistrats, réaliseront bien l’absurdité du propos, mais les rapports feront constamment et de manière inexpliquée référence à la ’famille juive de Monsieur COHEN’ et reprendront les propos racistes de la mère.3. Johanna et Loris arrivant en France après plusieurs semaines de séquestration en Croatie, Marc COHEN demande à la justice francaise leur retour chez eux à Manille.4. Un juge des Affaires Familiales de Paris, Mme CAMPOCASSI, décrète par ordonnance du 7 juillet 2000 que la résidence des enfants sera en France avec la mère. La raison est que ’le retour des enfants chez le père serait source de perturbation compte tenu de l’organisation scolaire à Manille’. Loris et Johanna ont fait l’essentiel de leur scolarité à l’école francaise de Manille. Depuis leur enlèvement, ils sont non scolarisés et mis au secret, en Croatie puis dans le Var. La décision du magistrat est illégale, en contravention avec les conventions internationales sur les enlèvements d’enfants.5. Le ’max de pognon’ demandé par la mère est accordé par le juge aux affaires familiales. Jouissant des avantages du cadre expatrié, le père a toujours pu offrir les meilleures conditions de vie à ses enfants qu’il a élevés seul pendant des années : grande maison avec piscine, excellente école, aide ménagère, loisirs et voyages, etc. Le magistrat condamne le père à payer pension et frais de transport qui dépassent la moitié de son salaire. Par la suite, une certaine Nicole COHEN (Mme AMORETTI se faisait passer pour l’épouse de Marc COHEN) obtient la saisie des comptes bancaires du père et une hypothèque sur le studio qu’il a acheté pour Johanna. Ces actes de justice sont illégaux, le père n’étant pas même avisé de ces procédures.6. Suite au rapt, l’obstruction mise en place par la mère avec l’aide de ses parents est totale : lavages de cerveau et manipulations, coups montés d’avocats, changements d’adresses et d’écoles, changement du nom des enfants, courrier intercepté, enfermement sous clés des enfants, pressions sur des autorités scolaires, enregistrements et montages de conversations des enfants, faux témoignages et attestations de personnes inconnues, psychiatres complaisants contre rémunération, accusations de toutes sortes, incessantes actions en justice. L’association OLGA SPITZER, désignée par le magistrat à la demande de la mère, nie les faits d’enlèvement, de séquestration et de maltraitance des enfants ; la jeune enquêtrice sociale, Valérie RODET, va jusqu’à recommander la prévention des communications entre les enfants et leur père, au motif qu’ils développeraient un sentiment de culpabilité par rapport à leur mère.7. Les magistrats refusent d’écouter Johanna et Loris malgré leur demande. Johanna finit par forcer la porte de la juge CAMPOCASSI au palais de justice et lui expose qu’elle veut simplement rentrer chez elle avec son père. Johanna gagnera des corrections et une surveillance encore plus étroite de sa mère.8. En décembre 2001, la juge des affaires familiales CAMPOCASSI maintient la résidence des enfants en France. Les pièces gênantes sur l’état de danger des enfants et la toxicomanie de la mère sont évacuées du dossier. La mère n’a respecté aucune des dispositions des décisions de justice (multiples non-représentation d’enfants, obstruction à tout contact entre les enfants et la famille du père). L’impunité totale lui est accordée par avance par le magistrat qui considère que l’impossibilité pour le père de communiquer avec ses enfants et d’exercer ses droits de visite serait due à une mauvaise communication entre parents et à l’éloignement géographique imposé par le père. Johanna et Loris ont été enlevés par leur mère et sont sequestrés à 10.000 kilomètres de chez eux, mais c’est le père qui, selon le magistrat, porte la responsabilité de cet éloignement. Marc COHEN fait appel de la décision et demande le retour de Johanna et Loris chez eux. L’état des enfants empire : ils se revoltent et la mère les maltraite sans aucune retenue.9. En avril 2002, Marc COHEN parvient à faire rentrer Johanna et Loris chez eux à Manille pour les vacances de Pâques. Son fils Loris est dans un état dramatique. L’institutrice et la directrice de sa dernière école (la 4ème en 18 mois) le considèrent comme un ’autiste’. Loris est battu et isolé par les autres enfants de l’école. Il est brutalisé par sa mère qui l’appelle au quotidien ’petit pédé’ et ’enculé de ta race’ et le giflé dès qu’il prononce le mot de papa. Ces maltraitances sont insoutenables : Marc COHEN garde son fils auprès de lui. Au bout de quelques semaines dans son environnement familier, Loris redevient le petit garcon plein de vie et épanoui qu’il était. Il est maintenant brillant à l’école.10. Johanna, encore choquée par le refus du juge des affaires familiales de la laisser rentrer chez elle à Manille, part en France pour réaffirmer sa volonté de vivre avec son père auprès des magistrat de la cour d’appel. Sa mère la fait disparaître les jours qui précèdent et suivent l’audience devant la cour d’appel. Les magistrats refusent à nouveau de procéder à son audition (elle a 12 ans).11. Le 24 octobre 2002, la 24eme chambre de la cour d’appel de Paris, présidée par Mme COLCOMBET confirme la décision du juge des affaires familiales (résidence des enfants en France) et confie l’autorité parentale exclusive à la mère au motif que la décision de justice n’est pas appliquée par le père et que le respect d’une décision de justice est une condition indispensable au bien-être des enfants. Cette argumentation juridique de Mme COLCOMBET signifie en substance que le droit de recours n’existe pas en France, les juges d’appel n’ayant plus à se prononcer sur le fond d’une affaire. La Cour d’Appel entérine à nouveau l’enlèvement des enfants et la violation des conventions internationales par la France.12. La mère, Nicole AMORETTI s’est présentée à l’audience devant la cour d’appel sous l’emprise de drogue : elle ne peut aligner deux mots cohérents. Elle ne demande pas aux magistrats la venue de Loris en France, mais la condamnation du père à lui verser la somme de 1.000 euros par jour. Les juges disposent de tous les éléments pour apprécier les maltraitances subies par Johanna et Loris et l’expression de leur volonté. Ils choisissent délibérément de sacrifier deux enfants (voir les dessous de l’affaire).13. Suite à la décision de Marc COHEN de garder son fils à Manille en avril 2002, la mère entame des procédures pénales contre le père ainsi que les autres membres de la famille paternelle. Curieusement, trois juges d’instruction, Mmes VERDUN, CHABANEIX, et RINGOT, se succèdent en quelques semaines dans cette affaire. Deux mandats d’arrêts internationaux auraient été lancés contre le père en l’absence de tout jugement et même convocation en justice. Les magistrats s’efforcent de monter un dossier pour faire croire que le père est un fugitif en cavale avec son fils aux Philippines, rejettant les pièces versées par le père et ses demandes d’actes et de comparution. Les magistrats harcèlent le père sur son lieu de travail dans l’espoir de le forcer à démissionner et venir en France.14. En octobre 2002, Nicole AMORETTI saisit un juge des enfants, Mme NOVELLA au sujet de Johanna. L’isolement de Johanna et la matraitance qu’elle subit au quotidien se sont aggravés. La mère veut faire dire que le père est responsable de l’état de danger de Johanna et la confier à une institution. Dès sa saisie, le juge des enfants ordonne une assistance éducative sans même en aviser le père (ce qui est illégal et entraine la nullité de la procédure). En juin 2003, le juge des enfants NOVELLA place Johanna en AEMO et suivi psychiatrique ; Mme NOVELLA, à la demande de la mère, démet le service social chargé du suivi de Johanna (l’OSE dont le rapport confirmait la séquestration de Johanna et soulignait les dangers encourus par la jeune fille auprès de sa mère), et nomme cette même association OLGA SPITZER qui etait intervenue trois ans plus tot.15. En mai 2003, l’ambassade de France à Manille, sur instruction de sa hiérarchie, M. Francois BARRY DELONGCHAMPS, ministre plénipotentaire / directeur des Francais à l’étranger au Ministère des Affaires Etrangères, refuse de procéder au renouvellement du passeport du père. L’ambassadrice, Mme Renée VEYRET, refuse aussi de communiquer à la justice les certificats de résidence et d’immatriculation consulaire de la famille COHEN ainsi que les dépositions des témoins du rapt de Johanna et Loris : il s’agit de nier le lieu de résidence, de travail, et de scolarisation d’une famille entière pendant des années pour accréditer la thèse du père ’fugitif’. Par ordonnance du 22 aout 2003, le conseiller d’Etat Patrick STEFANINI, rejette la demande du père de faire injonction à l’ambassade de France de lui délivrer un passeport. Le motif invoqué par le Conseil d’Etat est que si le refus de délivrance d’un passeport constitue bien une atteinte illégale à la liberté fondamentale d’aller et venir, le père ne peut démontrer l’urgence qu’il a obtenir un passeport et disposer de cette liberté (rappelons que Marc COHEN est fonctionnaire international, résident aux Phlippines, en charge de projets d’aide au développement dans plusieurs pays d’Asie).16. Aujourd’hui, Marc COHEN cherche à retrouver sa fille et obtenir son retour chez elle avec son frère. Johanna est entre les mains des psychiatres et de la ’justice de l’enfance’. Elle va être détruite définitivement si elle est placée en institution. Sous le coup d’un mandat d’arrêt international, Marc COHEN est impuissant pour agir auprès de la justice francaise. Toute venue en France pour essayer de voir sa fille le conduirait en prison et compromettrait la situation de son fils Loris.II. LES DESSOUS DE L’AFFAIRE : CORRUPTION, TRAFIC D’INFLUENCE, ABUS DE POUVOIR17. L’histoire de Johanna et Loris illustre de manière exemplaire les violations par le système judiciaire francais du droit international (Convention de la Haye sur les enlèvements internationaux d’enfants, Convention des nations unies sur les droits de l’enfant, Convention Européenne des droits de l’Homme) et des lois de la république relatives aux droits de l’enfant.18. L’histoire de Johanna et Loris est aussi un exemple de corruption et de copinage entre magistrats, experts, et hauts fonctionnaires. Les protagonistes de l’affaire COHEN se trouvent être étrangement liés. La mère, Nicole AMORETTI, déclare ouvertement avoir bénéficié d’appuis qui lui ont permis d’obtenir des décisions de justice en sa faveur, aussi aberrantes et irresponsables soient-elles, et de faire harceler la père.19. M. Francois BARRY DELONGCHAMPS, directeur des francais à l’étranger et des étrangers en France du ministère des affaires étrangères, est ami proche de la famille AMORETTI. Ses parents sont les voisins immédiats des parents de Nicole AMORETTI dans le VAR (commune de ROCBARON). De par ses fonctions, il a autorité en matière consulaire. Il est membre du Conseil National pour l’Accès aux Origines (CNAOP) ainsi que de Conseil Supérieur de l’Adoption (CSA), organismes interministériels de protection de l’enfance. Selon ses proptres services, ce haut fonctionnaire a fait usage de ses relations dans la magistrature pour couvrir la maltraitance des enfants. M. BARRY DELONGCHAMPS a donné à Mme VEYRET ambassadrice de France à Manille des consignes illégales qui relèvent du harcèlement du père et de ses enfants (refus de passeport, dissimulation de pièces -y compris certificats de résidence, opposition à la scolarisation de Loris à l’école francaise, menaces, interventions auprès de l’employeur du père).20. Mme COLCOMBET, présidente de la Chambre à la Cour d’Appel de Paris qui a rendu arrêt dans l’affaire COHEN siège avec M. BARRY DELONGCHAMPS au CNAOP.21. Mme CAMPOCASSI, juge des affaires familiales qui a rendu deux ordonnances dans l’affaire COHEN, est originaire de la même région que la famille AMORETTI. On peut se demander si elle n’avait pas été ’choisie’ et approchée dès l’enlèvement des enfants et n’a pas agi comme complice de l’enlèvement de Loris et Johanna.22. C’est à la demande de la mère que Mme CAMPOCASSI nomme l’association OLGA SPITZER pour réaliser l’enquête sociale. La mère Nicole AMORETTI clame avoir payé Mme Valérie RODET, jeune enquêtrice d’OLGA SPITZER, afin d’obtenir un rapport lui donnant satisfaction. On peut aussi se demander pourquoi Mme NOVELLA, juge des enfants qui place Johanna en assistance éducative, démet un premier service social qui avait dénoncé la maltraitance et la séquestration de Johanna afin de nommer cette même association OLGA SPITZER, toujours à la demande de la mère.23. M. STEFANINI, conseiller d’état, qui couvre la décision illégale de l’administration de priver le père de papiers, est un ami et ancien camarade à l’ENA de M. BARRY DELONGCHAMPS. M. STEFANINI, ex-directeur de cabinet d’Alain Juppé et directeur des campagnes présidentielles de Jacques Chirac, fait l’objet de poursuites judiciaires dans plusieurs affaires, actuellement dans le cadre des emplois fictifs de la mairie de Paris.Web site : http://groups.msn.com/JohannaLorisCohen/bienvenue.msnwRépondre à l' article Forum lié à l'article> Affaire Cohen : l’histoire de Johanna et Loris Imaginons maintenant que ce soit un père qui ait agi comme la mère en question... C'eut été vite fait!!!! Sans commentaire!
Publicité
Publicité
Commentaires
C
Toute cette affaire est non seulement scandaleuse, inique, une honte pour la justice française!! Comment pouvons-nous aider le père et les enfants?? Y a t'il une pétition? Y a t'il des gens SENSES qui écoutent ce pauvre homme et ces deux gosses dans ce monde pourri??? Cette affaire est tout à fait révoltante et les têtes doivent tomber!<br /> <br /> Chris
Publicité