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orlando de rudder
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25 janvier 2006

Alors là, Chapeau!!!!!

J’ai reproduit ici, il y a quelques jours, ce poème d’Emily Dickinson. Water is taught by thirst Land - by the ocean passed Transport - by throe - Peace -by it's battle told - Love, by Memorial Mold Birds, by the snow J’ai éclairé le sens – enfin l’un des sens (car il y a de l’indécence dans la traduction !)sans donner une véritable traduction. En signalant bien que ce n’était pas une vraie traduction.Par modestie et respect. Et manque de temps... Et surtout pour éviter une traduction dans le genre de ce qu'on va voir ci-dessous (non: je n'aurais pas fait aussi bas, miche, nul, con, gnangnan, stupide, maigrichon, cucul, mou, bête et j'en passe!). En me gardant de ce délire interprétatif, j'aurais tenté de garder le rythme du poème!!!! Et voici que je reçois un commentaire m’accusant de je ne sais quel « scolarisme » ou autre !!! Et surtout proposant ça : Je vous propose ma traduction… C’est seulement lorsque nous sommes vraiment assoiffés, que nous pouvons comprendre le merveilleux, le rafraîchissant et la force de vie que nous offre l’eau… Comment vraiment comprendre et aimer la terre ferme, mieux qu’en la laissant derrière en navigant sur les mers ? La PAIX ne signifie rien sans comprendre que des Hommes se sont sacrifiés pour ELLE… C’est au spectacle de la mort que nous pouvons vraiment comprendre la profondeur et le merveilleux de l’Amour… Les oiseaux volent loin de l’hiver et de ses neiges, pour apprécier la douceur et les faveurs que leur offrent les autres saisons… Rien n’y est du rythme, de la gravité, de la profondeur.On a que du cucul bien pensant !!! La prétention est à mourir de rire !!!!Rien qui puisse même évoquer le texte de départ ! En plus, il y a ce commentaire hilarant !!!! Ce poème de Mme Dickinson décline en résonances pures, l’expression des dualités et contrastes des principaux actes fondamentaux de la Vie et de l’Amour… Que saurions nous du plaisir si nous ne connaissions pas la peine ? N’est-ce pas merveilleux ? Heureusement qu’Emily Dickinson n’est pas aussi bête !!! Le poétisme a encore frappé ! LEs foutriquets sentencieux donneurs de leçons inaptes se ridiculisent!!! On se marre!!! Je suis content : j’étais jaloux du blog chronicae bruxellensis qui avait trouvé une belle réponse nunuche, stupide et éperdue de poétisme à l’un de ses articles. Eh bien, moi aussi, j’en ai une, nananère !!!! Enfin, là, ça se voit!!!! PArfois, ils se cachent; les incapables d'aimer sans trémolos grotesques! Il s'agit malgré tout d'une agression contre la poésie!!D'une faute grave! ET non pas seulement d'une vugarité médiocre d'esprit immature!!! voir aussi, plus bas, mon article: Jeanfoutres, groins, mufles, pignoufs et pouacres dans la même série!!!! Est-ce parce qu'il s'agit d'une femme que cette traduction est mièvre et gnangnan.? On sent quelque chose de ce genre dans la traduction comme dans le commentaire! Emily Dickinson n'était pas gnangnan! Elle était force pure, force de femme, ferveur solide! Du costaud!!! Du vrai!!! Hourrah, cornes au cul ! Vive le père Ubu…
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